Regardez donc ce qu'ils nous préparent

sam telam a écrit:ça me rappelle les remarques d' un "anar", (c'est lui qui se definit comme ça) qui pestait contre les RTT en 2005, et tout ça paske monsieur, intermittent du spectacle ne comptait pas ses heures pour installer ses regies lumiere et implanter les projos....et ce bon con de pester contre les employés de la mjc où il était régisseur à cause de leurs rtt....

evidemment que ds le spectacle , il arrive de bosser qqfois presque 16h d' affilée, voire qd c'est vraiment charrette, de rester dormir sur place , etc....
mais on sait qu' une fois le truc fini, on est peinard...et puis c'est un boulot créatif, t'as la satisfaction de t'organiser comme tu veux

mais là, imaginer que tu vas faire ça ts les jours, c'est le bagne....

yapadebug a écrit:http://assemblee.blogs.liberation.fr/urvoas/
Le PS s'imagine qu'en déposant 1400 amendements, qui seront rejetés, ils ont fait leur boulot.
Mais non, il faut aller beaucoup plus loin que ça, l'UMP déclare la guerre aux travailleurs, alors si c'est la guerre qu'ils veulent, faisons leur la guerre.
Parce que travailler 13 heures par jour 6 jours sur 7, c'est pas possible, on peut pas laisser passer ça, même si hypocritement ils disent que ça sera pour les salariés "volontaires". On sait très bien que les salariés auront le choix entre être volontaires ou être chomeurs.
On voit parfaitement où la droite "moderne" veut en venir: à Germinal !

Les députés ont à peine entamé jeudi soir l’article 17 du projet de loi, qui assouplit le régime des «conventions de forfait». Or, il s’agit là d’un point particulièrement controversé puisque le calcul forfaitaire du temps de travail ne permet pas de décompter des heures supplémentaires, dont le paiement est majoré de 25% ou 50%. Le système du forfait est jusqu’ici réservé aux cadres et aux salariés itinérants, dont les temps de travail journalier peuvent être variables. Le gouvernement souhaite étendre ce régime du forfait à tous les salariés «disposant d’une réelle autonomie dans l’organisation de leur emploi du temps». Une disposition qui, selon la gauche et les syndicats, peut permettre aux employeurs de ne pas payer les heures supplémentaires.

"L'idée qu'un changement de politique doit être mené comme une attaque militaire surprise est un thème cher aux apôtres de la thérapie de choc économique. Dans Schock and Awe Achieving Rapid Dominance, doctrine militaire des Etats-Unis de 1996 qui servit de fondement à l'invasion de l'Irak en 2003, les auteurs affirment que l'envahisseur devrait investir l'environnement de l'adversaire et paralyser ou surcharger ses perceptions et sa compréhension des événements pour le rendre incapable de résister.
Le choc économique opère de la même façon : l'hypothèse de base, c'est que les gens sont en mesure de réagir à un changement progressif -un programme de santé supprimé par-ci, une entente commerciale signée par-là- mais que, quand des dizaines de changements arrivent en même temps, de tous les côtés, ils ont le sentiment que leurs efforts seront futiles et ils baissent les bras"...

clomani a écrit:

"L'idée qu'un changement de politique doit être mené comme une attaque militaire surprise est un thème cher aux apôtres de la thérapie de choc économique. Dans Schock and Awe Achieving Rapid Dominance, doctrine militaire des Etats-Unis de 1996 qui servit de fondement à l'invasion de l'Irak en 2003, les auteurs affirment que l'envahisseur devrait investir l'environnement de l'adversaire et paralyser ou surcharger ses perceptions et sa compréhension des événements pour le rendre incapable de résister.
Le choc économique opère de la même façon : l'hypothèse de base, c'est que les gens sont en mesure de réagir à un changement progressif -un programme de santé supprimé par-ci, une entente commerciale signée par-là- mais que, quand des dizaines de changements arrivent en même temps, de tous les côtés, ils ont le sentiment que leurs efforts seront futiles et ils baissent les bras"...

Sébastien Fontenelle a écrit:Syndicalistes rouges (de honte)
Intervenant hier devant "quelque 2.000 cadres et conseillers nationaux" du parti régimaire, le chef de l’Etat français a déclaré que : "Désormais, quand il y a une grève, personne ne s’en aperçoit".

A ces mots, parfaitement vrais, deux hommes au teint jaune ont senti que leurs joues s’enflammaient du rouge d’une (très, très, très) vive honte.

Il s’agissait, naturellement, de François Chérèque et de Bernard Thibault, qui ont soudain réalisé que leurs adhérents, désormais, n’allaient que peu tarder à les chasser, au cri de :