Finies les élections !

Maintenant les choses sérieuses peuvent commencer.

Déjà des dents qui grincent...
http://laposte.lci.fr/infos/france/societe/0,,3473227-VU5WX0lEIDQ0OQ==,00-reforme-universites-coince-deja-.html

liliM a écrit:Déjà des dents qui grincent...
http://laposte.lci.fr/infos/france/societe/0,,3473227-VU5WX0lEIDQ0OQ==,00-reforme-universites-coince-deja-.html

Et c'est que le début.
Concernant les propositionsde Sarkozy sur le service minimum, les syndicats n'accepteront jamais que chaque salariés doivent déposer individuellement un préavis, 2 jours avant la grève.

En Septembre ça pète !

J'ai trouvé énorme qu'il s'invite 3/4 d'heure chez TF1... (j'ai vu juste avant... alors qu'il lançait de grands sourires à Claire Chazal, pendant que PPD racontait sa merde et "lançait" la prochaine itw de 3/4 d'h du héros du siècle)

TF1 est à gerber.
Sarko est à gerber.
Ces cons sont à gerber.

Je constate que Sarkozy s'engage personnellement sur les réformes qu'il propose. C'est courageux certes, et ça change de ses prédécesseurs. Nous avons maintenant un président qui gouverne et s'engage personnellement. Pourquoi pas après tout, il a été élu.

Mais en cas d'échec ce sera lui le responsable, et non pas son premier ministre, qui est relégué au simple rôle d'exécutant. En cas de crise grave, mouvements sociaux au autres, il n'y aura pas de fusible pour désamorcer la crise. Les partenaires sociaux ne pourront pas en appeler à l'arbitrage du président, pour retirer un projet, voire changer de gouvernement.

Alors, soit Sarkozy est conscient de ça et il n'avancera qu'avec prudence dans la négociation et le consensus, soit il voudra avancer coute que coute et là, ça risque de barder.

Vu les discours qu'il a tenu hier, je pencherai pour la 2ème hypothèse. A ce moment là, il n'y aura plus qu'une solution pour les mouvements sociaux: bloquer le pays et obliger par la force Sarkozy à reculer, ou même à démissionner. Ca s'appelle une révolution, ça.

On est pas sorti de l'auberge....

yapadebug a écrit:Je constate que Sarkozy s'engage personnellement sur les réformes qu'il propose. C'est courageux certes, et ça change de ses prédécesseurs. Nous avons maintenant un président qui gouverne et s'engage personnellement. Pourquoi pas après tout, il a été élu.

Mais en cas d'échec ce sera lui le responsable, et non pas son premier ministre, qui est relégué au simple rôle d'exécutant. En cas de crise grave, mouvements sociaux au autres, il n'y aura pas de fusible pour désamorcer la crise. Les partenaires sociaux ne pourront pas en appeler à l'arbitrage du président, pour retirer un projet, voire changer de gouvernement.

Alors, soit Sarkozy est conscient de ça et il n'avancera qu'avec prudence dans la négociation et le consensus, soit il voudra avancer coute que coute et là, ça risque de barder.

Vu les discours qu'il a tenu hier, je pencherai pour la 2ème hypothèse. A ce moment là, il n'y aura plus qu'une solution pour les mouvements sociaux: bloquer le pays et obliger par la force Sarkozy à reculer, ou même à démissionner. Ca s'appelle une révolution, ça.

On est pas sorti de l'auberge....

Ca risquera de barder, mais il s'empressera d'oublier qu'il s'est engagé et il fera sauter un premier fusible, puis un deuxième, comptant sur l'amnésie des journalistes intervieweurs... et là, il est tranquille : tous amnésiques !