Santini tacle les fonctionnaires
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Santini tacle les fonctionnaires
Refrain connu...
http://www.rue89.com/2007/08/14/santini-tacle-les-fonctionnaires
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Re: Santini tacle les fonctionnaires
Ben quand on aura débarrasé la France des fonctionnaires, des chomeurs, des étrangers et des pauvres, ça ira mieux non ?
Tout ces gros cons de droite ne valent même pas la corde pour les pendre !
Une balle suffira !
Tout ces gros cons de droite ne valent même pas la corde pour les pendre !
Une balle suffira !
yapadebu- Invité
Re: Santini tacle les fonctionnaires
Voilou une casserole de Santini que j'ai copiée sur Rue89
SANTINI MIS EN EXAMEN ET SARKO N A PAS HESITE DE LE FAIRE RENTRER
DANS LE GOUVERNEMENT MAIS QUAND ON A POUR AMI LONGUET EX BEAU FRERE DE
BOLLORE ET LA MAIN MISE SUR LE 92 ON SAIT A QUELLE BANDE ON A AFFAIRE
PARIS (AP) - La nomination mardi au gouvernement d'André Santini,
mis en examen depuis l'été 2006 dans une affaire de scandale financier
autour d'une fondation d'art contemporain, enterre de facto la
jurisprudence Bérégovoy-Balladur selon laquelle tout politique
soupçonné par la justice ne peut être ministre.
"La règle fixée par le Premier ministre est la règle du suffrage
universel", indiquait-on mardi à Matignon. André Santini a été réélu
dimanche député de la 10e circonscription des Hauts-de-Seine.
"J'attends simplement un non-lieu, et autrement, je prendrai les
décisions qui s'imposent", a déclaré l'intéressé sur RTL. A la question
de savoir s'il n'y avait pas une "incompatibilité" entre sa nouvelle
fonction et l'affaire en question, le député-maire
d'Issy-les-Moulineaux a répondu: "je ne crois pas".
Inventée lors de la démission de Bernard Tapie en 1992, la
jurisprudence Bérégovoy-Balladur est une règle non écrite qui veut que
tout ministre mis en examen démissionne. Elle a été appliquée sous le
gouvernement Balladur à Michel Roussin, Gérard Longuet -relaxé par la
suite dans le dossier qui l'avait contraint à démissionner- et Alain
Carignon.
La règle a également coûté son poste de ministre de l'Economie à
Dominique Strauss-Kahn sous le gouvernement Jospin. Il a été blanchi
par la suite dans l'affaire de la MNEF.
Depuis 2002, la droite a pris ses distances avec cette
jurisprudence, invoquant la présomption d'innocence. Deux ministres mis
en cause par la justice ont néanmoins dû démissionner. Renaud Donnedieu
de Vabres, mis en examen dans l'affaire du financement occulte du Parti
républicain, avait quitté son poste de ministre délégué aux Affaires
européennes un mois après sa nomination. Il était revenu deux ans plus
tard au ministère de la Culture après avoir écopé d'une peine réduite
de 15.000 euros d'amende.
Secrétaire d'Etat aux programmes immobiliers de la Justice, Pierre
Bédier avait lui aussi dû démissionner en janvier 2004 après sa mise en
examen pour "corruption passive" et "recel d'abus de biens sociaux",
qui lui a valu une condamnation à 18 mois d'emprisonnement avec sursis
deux ans plus tard. Mais il était officiellement parti en raison de ses
fonctions à la chancellerie.
André Santini a été mis en examen l'an dernier pour "complicité de
détournement de fonds public", "prise illégale d'intérêt" et "faux"
dans l'enquête sur la Fondation Hamon, une fondation d'art
contemporain. Ce projet de musée d'art contemporain du nom de son
mécène, Jean Hamon, devait voir le jour sur l'île Saint-Germain à
Issy-les-Moulineaux et accueillir près de 200 toiles et sculptures
données au conseil général des Hauts-de-Seine par le promoteur
immobilier, estimées à près de 10 millions d'euros.
A cet effet, un syndicat mixte, co-présidé par André Santini, maire
d'Issy-les-Moulineaux, et Charles Pasqua, alors président du conseil
général et également mis en examen, avait été créé en 2000. La ville
assurait un tiers du budget, le reste étant pris en charge par le
Conseil général des Hauts-de-Seine.
Dans l'attente de la construction du musée, les oeuvres étaient
stockées et entretenues, aux frais du contribuable, dans un château
appartenant à Jean Hamon qui perçoit des frais de garde.
La Fondation ne verra jamais le jour, le permis de construire sera
annulé à la suite de recours engagés par les riverains et des
associations écologistes.
Dans cette affaire, la justice soupçonne André Santini d'avoir fait
embaucher un de ses proches par le syndicat mixte, d'où sa mise en
examen.
En avril 2005, le conseil général, présidé par Nicolas Sarkozy,
souhaitant mettre un terme à ce projet encombrant, a voulu annuler le
contrat le liant à Jean Hamon pour l'entretien des oeuvres. En janvier,
la justice lui a donné tort. Il devra payer jusqu'en 2011
SANTINI MIS EN EXAMEN ET SARKO N A PAS HESITE DE LE FAIRE RENTRER
DANS LE GOUVERNEMENT MAIS QUAND ON A POUR AMI LONGUET EX BEAU FRERE DE
BOLLORE ET LA MAIN MISE SUR LE 92 ON SAIT A QUELLE BANDE ON A AFFAIRE
PARIS (AP) - La nomination mardi au gouvernement d'André Santini,
mis en examen depuis l'été 2006 dans une affaire de scandale financier
autour d'une fondation d'art contemporain, enterre de facto la
jurisprudence Bérégovoy-Balladur selon laquelle tout politique
soupçonné par la justice ne peut être ministre.
"La règle fixée par le Premier ministre est la règle du suffrage
universel", indiquait-on mardi à Matignon. André Santini a été réélu
dimanche député de la 10e circonscription des Hauts-de-Seine.
"J'attends simplement un non-lieu, et autrement, je prendrai les
décisions qui s'imposent", a déclaré l'intéressé sur RTL. A la question
de savoir s'il n'y avait pas une "incompatibilité" entre sa nouvelle
fonction et l'affaire en question, le député-maire
d'Issy-les-Moulineaux a répondu: "je ne crois pas".
Inventée lors de la démission de Bernard Tapie en 1992, la
jurisprudence Bérégovoy-Balladur est une règle non écrite qui veut que
tout ministre mis en examen démissionne. Elle a été appliquée sous le
gouvernement Balladur à Michel Roussin, Gérard Longuet -relaxé par la
suite dans le dossier qui l'avait contraint à démissionner- et Alain
Carignon.
La règle a également coûté son poste de ministre de l'Economie à
Dominique Strauss-Kahn sous le gouvernement Jospin. Il a été blanchi
par la suite dans l'affaire de la MNEF.
Depuis 2002, la droite a pris ses distances avec cette
jurisprudence, invoquant la présomption d'innocence. Deux ministres mis
en cause par la justice ont néanmoins dû démissionner. Renaud Donnedieu
de Vabres, mis en examen dans l'affaire du financement occulte du Parti
républicain, avait quitté son poste de ministre délégué aux Affaires
européennes un mois après sa nomination. Il était revenu deux ans plus
tard au ministère de la Culture après avoir écopé d'une peine réduite
de 15.000 euros d'amende.
Secrétaire d'Etat aux programmes immobiliers de la Justice, Pierre
Bédier avait lui aussi dû démissionner en janvier 2004 après sa mise en
examen pour "corruption passive" et "recel d'abus de biens sociaux",
qui lui a valu une condamnation à 18 mois d'emprisonnement avec sursis
deux ans plus tard. Mais il était officiellement parti en raison de ses
fonctions à la chancellerie.
André Santini a été mis en examen l'an dernier pour "complicité de
détournement de fonds public", "prise illégale d'intérêt" et "faux"
dans l'enquête sur la Fondation Hamon, une fondation d'art
contemporain. Ce projet de musée d'art contemporain du nom de son
mécène, Jean Hamon, devait voir le jour sur l'île Saint-Germain à
Issy-les-Moulineaux et accueillir près de 200 toiles et sculptures
données au conseil général des Hauts-de-Seine par le promoteur
immobilier, estimées à près de 10 millions d'euros.
A cet effet, un syndicat mixte, co-présidé par André Santini, maire
d'Issy-les-Moulineaux, et Charles Pasqua, alors président du conseil
général et également mis en examen, avait été créé en 2000. La ville
assurait un tiers du budget, le reste étant pris en charge par le
Conseil général des Hauts-de-Seine.
Dans l'attente de la construction du musée, les oeuvres étaient
stockées et entretenues, aux frais du contribuable, dans un château
appartenant à Jean Hamon qui perçoit des frais de garde.
La Fondation ne verra jamais le jour, le permis de construire sera
annulé à la suite de recours engagés par les riverains et des
associations écologistes.
Dans cette affaire, la justice soupçonne André Santini d'avoir fait
embaucher un de ses proches par le syndicat mixte, d'où sa mise en
examen.
En avril 2005, le conseil général, présidé par Nicolas Sarkozy,
souhaitant mettre un terme à ce projet encombrant, a voulu annuler le
contrat le liant à Jean Hamon pour l'entretien des oeuvres. En janvier,
la justice lui a donné tort. Il devra payer jusqu'en 2011
Re: Santini tacle les fonctionnaires
C'est marrant comme on retombe toujours sur les mêmes pourritures...
yapadebu- Invité
Re: Santini tacle les fonctionnaires
yapadebug a écrit:C'est marrant comme on retombe toujours sur les mêmes pourritures...
Et que fait le syndicat de la magistrature?
Duchesse-
Nombre de messages : 3335
Localisation : Auteuil Le roi
Emploi : Théâtre
Date d'inscription : 16/04/2007
sam telam-
Nombre de messages : 3934
Age : 69
Localisation : au sud du sud
Emploi : anartiste
Loisirs : joke à rire
Date d'inscription : 16/04/2007
Re: Santini tacle les fonctionnaires
sam telam a écrit:
J'aimerais signaler que, pour une fois, ça n'est pas moi qui ai commencé à troller et à parler de raies
Re: Santini tacle les fonctionnaires
Ben quoi ? C'est pas un troll, c'est juste un fonctionnaire de la raie publique...clomani a écrit:sam telam a écrit:
J'aimerais signaler que, pour une fois, ça n'est pas moi qui ai commencé à troller et à parler de raies
yapadebu- Invité
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