Brice rebondit dans Libé !

http://www.liberation.fr/rebonds/269308.FR.php

J'ai lu en vitesse... ma première impression est qu'il tartine à donf sur le passé pour s'appuyer sur le truc "z'ont tout cassé (la télé d'état entre autres), y'a plus d'valeurs"... pour dire que la nationalité française n'est plus ce qu'elle était... évidemment, puisque nous sommes les citoyens du monde...
Ensuite, il se sert d'affirmations gratuites, manipule la pseudo "montée des communautarismes" (et tiens, réfléchis donc à pourquoi certaines communautées se sentent exclues, connard !), pour justifier ces mots qui définissent son ministère : l'identité nationale. Il démolit les critiques en disant qu'elles n'étaient que sur la forme, c'est à dire l'interprétation mauvaise des 2 mots qui définissent son ministère... démolit tous ce qui n'a pas été fait depuis des années, et vante la sienne, de politique, et bien sûr le petit Nicolas aussi... faut flatter Nabotléon !
Brèfles, moi il me paraît faire un discours creux, répondant sur les mots à des accusations de fond... mais ça c'est justement le boulot des ministres au nabot ! Quant à ses valeurs du passé : le service militaire et la télé de papa... bonjour !

clomani a écrit:http://www.liberation.fr/rebonds/269308.FR.php

J'ai lu en vitesse... ma première impression est qu'il tartine à donf sur le passé pour s'appuyer sur le truc "z'ont tout cassé (la télé d'état entre autres), y'a plus d'valeurs"... pour dire que la nationalité française n'est plus ce qu'elle était... évidemment, puisque nous sommes les citoyens du monde...
Ensuite, il se sert d'affirmations gratuites, manipule la pseudo "montée des communautarismes" (et tiens, réfléchis donc à pourquoi certaines communautées se sentent exclues, connard !), pour justifier ces mots qui définissent son ministère : l'identité nationale. Il démolit les critiques en disant qu'elles n'étaient que sur la forme, c'est à dire l'interprétation mauvaise des 2 mots qui définissent son ministère... démolit tous ce qui n'a pas été fait depuis des années, et vante la sienne, de politique, et bien sûr le petit Nicolas aussi... faut flatter Nabotléon !
Brèfles, moi il me paraît faire un discours creux, répondant sur les mots à des accusations de fond... mais ça c'est justement le boulot des ministres au nabot ! Quant à ses valeurs du passé : le service militaire et la télé de papa... bonjour !

Jolie réponse se Salah Guemriche dans un rebond

Mais non, monsieur le ministre, les mots ne sont pas innocents, encore moins innocente leur «addition». C’est autant l’école de la République que les grands noms de la littérature française qui nous l’ont appris à nous, écoliers indigènes : les mots traduisent la pensée et même parfois la subliment (au sens. subliminal).

vanemel a écrit:

clomani a écrit:http://www.liberation.fr/rebonds/269308.FR.php

J'ai lu en vitesse... ma première impression est qu'il tartine à donf sur le passé pour s'appuyer sur le truc "z'ont tout cassé (la télé d'état entre autres), y'a plus d'valeurs"... pour dire que la nationalité française n'est plus ce qu'elle était... évidemment, puisque nous sommes les citoyens du monde...
Ensuite, il se sert d'affirmations gratuites, manipule la pseudo "montée des communautarismes" (et tiens, réfléchis donc à pourquoi certaines communautées se sentent exclues, connard !), pour justifier ces mots qui définissent son ministère : l'identité nationale. Il démolit les critiques en disant qu'elles n'étaient que sur la forme, c'est à dire l'interprétation mauvaise des 2 mots qui définissent son ministère... démolit tous ce qui n'a pas été fait depuis des années, et vante la sienne, de politique, et bien sûr le petit Nicolas aussi... faut flatter Nabotléon !
Brèfles, moi il me paraît faire un discours creux, répondant sur les mots à des accusations de fond... mais ça c'est justement le boulot des ministres au nabot ! Quant à ses valeurs du passé : le service militaire et la télé de papa... bonjour !

Jolie réponse se Salah Guemriche dans un rebond

Mais non, monsieur le ministre, les mots ne sont pas innocents, encore moins innocente leur «addition». C’est autant l’école de la République que les grands noms de la littérature française qui nous l’ont appris à nous, écoliers indigènes : les mots traduisent la pensée et même parfois la subliment (au sens. subliminal).

Je fonce lire ça !!! Merci Van.