les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
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les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Actualités
Brésil : et les Metyktire apparurent…
Fin mai, un groupe d’indigènes vivant jusqu’alors en isolement volontaire est apparu au monde extérieur. Cela s’est passé dans le Nord de l’État de Pará. Les membres du groupe ont marché pendant cinq jours et parcouru plus de cent kilomètres à travers la dense forêt amazonienne ; ils ont traversé la frontière de Mato Grosso et sont arrivés à l’improviste dans un village des indiens Kayapó.
[29 Juin 2007]
Il est important de signaler que ce contact n’a pas été le résultat d’une décision librement prise mais d’une incursion d’exploitants forestiers dans leur territoire, qui les a obligée à fuir et à entreprendre cette longue et dure traversée jusqu’au village.
Il s’agit d’un groupe de 87 indiens Metyktire (un sous-groupe des Kayapó), qui avaient été initialement contactés en 1950 mais qui avaient décidé à l’époque de retourner dans la forêt ; depuis, ils ont toujours vécu en isolement volontaire.
D’après les rapports, le premier contact a été fait par deux hommes qui ont produit des sons devant l’une des maisons du village et qui ont été vus par deux jeunes gens. Une fois surmontée la méfiance mutuelle suscitée par cette rencontre inattendue, le reste du groupe est entré peu à peu dans le village Kayapó.
Par précaution, il a été décidé que seuls les membres du village pourraient avoir des contacts avec les Metyktire, pour éviter la contagion de maladies contre lesquelles ils n’ont pas de défenses immunitaires. Le village est habité par des indiens de la même ethnie qui, dans les années 50, avaient décidé d’établir des contacts avec les blancs. Le leader du village, Megaron Txucarramae, qui est également délégué auprès de la FUNAI (Fondation nationale indigène du Brésil), est l’interlocuteur des nouveaux venus. D’après la FUNAI, on ne sait pas encore s’il y a d’autres Metyktire dans la forêt, blessés ou morts, ou qui n’aient pas encore décidé d’en sortir.
On croyait que les Metyktire avaient disparu ; personne ne savait où ils étaient. Ils ont été accueillis avec beaucoup de joie par les Kayapó, avec des chants et des danses. D’après les récits, les Metyktire parlent une version plus pure du mebengokré (la langue des Kayapó), ils sont grands et forts, ils portent les cheveux longs et le botoque (un disque de bois inséré dans la lèvre inférieure).
Pour Gilberto Hazaña et Sydney Possuelo, du Centre de travail sur les indigènes, ces peuples qui vivent en isolement volontaire ont cherché des régions isolées pour s’y réfugier, des régions non convoitées par l’acharnement mercantiliste (ou missionnaire) de nos “fronts d’expansion”. Nous estimons qu’il existe encore dans l’Amazonie (surtout brésilienne, mais aussi bolivienne, péruvienne, colombienne, vénézuélienne, équatorienne et guyanienne) des dizaines de groupes autochtones qui vivent presque de la même manière qu’il y a cinq cents, six cents ou mille ans : vêtus seulement de parures de plumes ou de cache-sexe, vivant de la chasse, la pêche, la cueillette et l’agriculture artisanale, se servant de haches de pierre et utilisant le feu, sans maladies virales et dans un environnement plantureux. Il est indéniable que la plupart des peuples isolés de l’Amazonie se trouve aujourd’hui une situation extrêmement grave, du fait de l’avancée des fronts prédateurs (forestiers et miniers) sur les dernières zones vierges de la région.
Ce récent contact du peuple Metyktire est une bonne occasion pour réfléchir à l’avenir de ces peuples isolés.
Premièrement, il faut bien se rappeler qu’ils ne se sont pas mis en contact par leur propre décision. Bien au contraire : d’après les premières versions, ils échappaient aux exploitants forestiers et ils ont fui pendant cinq jours à travers la forêt dense pour arriver finalement chez leurs frères Kayapó. C’est-à-dire qu’ils auraient pu être abattus par les forestiers - comme c’est arrivé dans bien des cas - sans laisser de traces ; heureusement, ils ont pu échapper.
Bien d’autres questions se posent : quel avenir peuvent avoir ces communautés lorsqu’elles sont forcées de contacter le monde extérieur où règne le mercantilisme et où le plus intéressant de l’affaire va être la diffusion d’images montrant des indiens nus qui portent le botoque aux lèvres ? Quel avenir auront-elles en s’intégrant à un pays - et à un monde - où règne si souvent le racisme et où la plupart des indigènes vivent dans la pauvreté extrême ? Quel sera l’avenir des dizaines de communautés qui habitent encore la forêt, au Brésil surtout, et dont les territoires sont livrés aux entreprises forestières, minières et pétrolières au nom du développement et de la croissance économique du pays ?
Peut-être le plus important serait-il de nous demander ce que nous pouvons faire pour que les droits de ces peuples soient respectés et qu’ils puissent décider librement s’ils veulent vivre isolés ou non.
À cet égard, nous sommes d’avis qu’il faut d’abord faire savoir qu’ils existent et réussir à faire comprendre et à faire respecter leur décision de vivre en isolement. Il faut que les gens comprennent qu’il ne s’agit pas de peuples ignorants qui vivent dans la misère, mais de peuples qui ont une culture à eux, adaptée à utiliser durablement l’environnement plantureux où ils habitent.
Parallèlement, il est indispensable de faire en sorte que les gouvernements reconnaissent les droits territoriaux de ces peuples – des droits antérieurs à l’existence des États nationaux actuels – et qu’ils veillent à les faire respecter en empêchant l’accès à leurs territoires des exploitants forestiers, miniers ou autres qui viennent les détruire.
Sans l’appui de la société extérieure, ces peuples ne pourront pas défendre leurs territoires ancestraux contre des envahisseurs armés et sans scrupules, et n’auront d’autre choix que de contacter le monde extérieur ou disparaître. C’est pourquoi nous devons redoubler d’efforts pour protéger les droits des peuples indigènes qui vivent en isolement volontaire.
ICRA va sous peu lancer une campagne de soutien aux peuples indigènes, dont les Kayapó et les Yawalapiti, du parc du Xingu au Brésil dans leur légitime lutte contre les projets de barrages hydroélectriques sur le fleuve Xingu et ses affluents, menaçant gravement la survie des peuples riverains.
Article rédigé à partir d’informations tirées de : “Indio brabo”, article de Rodolfo Salm publié dans Correio da Ciudadania, mis en ligne sur le site du WRM, www.wrm.org.uy
Brésil : et les Metyktire apparurent…
Fin mai, un groupe d’indigènes vivant jusqu’alors en isolement volontaire est apparu au monde extérieur. Cela s’est passé dans le Nord de l’État de Pará. Les membres du groupe ont marché pendant cinq jours et parcouru plus de cent kilomètres à travers la dense forêt amazonienne ; ils ont traversé la frontière de Mato Grosso et sont arrivés à l’improviste dans un village des indiens Kayapó.
[29 Juin 2007]
Il est important de signaler que ce contact n’a pas été le résultat d’une décision librement prise mais d’une incursion d’exploitants forestiers dans leur territoire, qui les a obligée à fuir et à entreprendre cette longue et dure traversée jusqu’au village.
Il s’agit d’un groupe de 87 indiens Metyktire (un sous-groupe des Kayapó), qui avaient été initialement contactés en 1950 mais qui avaient décidé à l’époque de retourner dans la forêt ; depuis, ils ont toujours vécu en isolement volontaire.
D’après les rapports, le premier contact a été fait par deux hommes qui ont produit des sons devant l’une des maisons du village et qui ont été vus par deux jeunes gens. Une fois surmontée la méfiance mutuelle suscitée par cette rencontre inattendue, le reste du groupe est entré peu à peu dans le village Kayapó.
Par précaution, il a été décidé que seuls les membres du village pourraient avoir des contacts avec les Metyktire, pour éviter la contagion de maladies contre lesquelles ils n’ont pas de défenses immunitaires. Le village est habité par des indiens de la même ethnie qui, dans les années 50, avaient décidé d’établir des contacts avec les blancs. Le leader du village, Megaron Txucarramae, qui est également délégué auprès de la FUNAI (Fondation nationale indigène du Brésil), est l’interlocuteur des nouveaux venus. D’après la FUNAI, on ne sait pas encore s’il y a d’autres Metyktire dans la forêt, blessés ou morts, ou qui n’aient pas encore décidé d’en sortir.
On croyait que les Metyktire avaient disparu ; personne ne savait où ils étaient. Ils ont été accueillis avec beaucoup de joie par les Kayapó, avec des chants et des danses. D’après les récits, les Metyktire parlent une version plus pure du mebengokré (la langue des Kayapó), ils sont grands et forts, ils portent les cheveux longs et le botoque (un disque de bois inséré dans la lèvre inférieure).
Pour Gilberto Hazaña et Sydney Possuelo, du Centre de travail sur les indigènes, ces peuples qui vivent en isolement volontaire ont cherché des régions isolées pour s’y réfugier, des régions non convoitées par l’acharnement mercantiliste (ou missionnaire) de nos “fronts d’expansion”. Nous estimons qu’il existe encore dans l’Amazonie (surtout brésilienne, mais aussi bolivienne, péruvienne, colombienne, vénézuélienne, équatorienne et guyanienne) des dizaines de groupes autochtones qui vivent presque de la même manière qu’il y a cinq cents, six cents ou mille ans : vêtus seulement de parures de plumes ou de cache-sexe, vivant de la chasse, la pêche, la cueillette et l’agriculture artisanale, se servant de haches de pierre et utilisant le feu, sans maladies virales et dans un environnement plantureux. Il est indéniable que la plupart des peuples isolés de l’Amazonie se trouve aujourd’hui une situation extrêmement grave, du fait de l’avancée des fronts prédateurs (forestiers et miniers) sur les dernières zones vierges de la région.
Ce récent contact du peuple Metyktire est une bonne occasion pour réfléchir à l’avenir de ces peuples isolés.
Premièrement, il faut bien se rappeler qu’ils ne se sont pas mis en contact par leur propre décision. Bien au contraire : d’après les premières versions, ils échappaient aux exploitants forestiers et ils ont fui pendant cinq jours à travers la forêt dense pour arriver finalement chez leurs frères Kayapó. C’est-à-dire qu’ils auraient pu être abattus par les forestiers - comme c’est arrivé dans bien des cas - sans laisser de traces ; heureusement, ils ont pu échapper.
Bien d’autres questions se posent : quel avenir peuvent avoir ces communautés lorsqu’elles sont forcées de contacter le monde extérieur où règne le mercantilisme et où le plus intéressant de l’affaire va être la diffusion d’images montrant des indiens nus qui portent le botoque aux lèvres ? Quel avenir auront-elles en s’intégrant à un pays - et à un monde - où règne si souvent le racisme et où la plupart des indigènes vivent dans la pauvreté extrême ? Quel sera l’avenir des dizaines de communautés qui habitent encore la forêt, au Brésil surtout, et dont les territoires sont livrés aux entreprises forestières, minières et pétrolières au nom du développement et de la croissance économique du pays ?
Peut-être le plus important serait-il de nous demander ce que nous pouvons faire pour que les droits de ces peuples soient respectés et qu’ils puissent décider librement s’ils veulent vivre isolés ou non.
À cet égard, nous sommes d’avis qu’il faut d’abord faire savoir qu’ils existent et réussir à faire comprendre et à faire respecter leur décision de vivre en isolement. Il faut que les gens comprennent qu’il ne s’agit pas de peuples ignorants qui vivent dans la misère, mais de peuples qui ont une culture à eux, adaptée à utiliser durablement l’environnement plantureux où ils habitent.
Parallèlement, il est indispensable de faire en sorte que les gouvernements reconnaissent les droits territoriaux de ces peuples – des droits antérieurs à l’existence des États nationaux actuels – et qu’ils veillent à les faire respecter en empêchant l’accès à leurs territoires des exploitants forestiers, miniers ou autres qui viennent les détruire.
Sans l’appui de la société extérieure, ces peuples ne pourront pas défendre leurs territoires ancestraux contre des envahisseurs armés et sans scrupules, et n’auront d’autre choix que de contacter le monde extérieur ou disparaître. C’est pourquoi nous devons redoubler d’efforts pour protéger les droits des peuples indigènes qui vivent en isolement volontaire.
ICRA va sous peu lancer une campagne de soutien aux peuples indigènes, dont les Kayapó et les Yawalapiti, du parc du Xingu au Brésil dans leur légitime lutte contre les projets de barrages hydroélectriques sur le fleuve Xingu et ses affluents, menaçant gravement la survie des peuples riverains.
Article rédigé à partir d’informations tirées de : “Indio brabo”, article de Rodolfo Salm publié dans Correio da Ciudadania, mis en ligne sur le site du WRM, www.wrm.org.uy
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Que vont-ils devenir ? Encore une preuve que le capitalisme va droit dans le mur.
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Le problème du Brésil, c'est devenu le bio-éthanol... parce que, maintenant qu'on sait qu'on n'a plus besoin de pétrole, tout le monde se rue sur l'agriculture... pour les voitures.liliM a écrit:Que vont-ils devenir ? Encore une preuve que le capitalisme va droit dans le mur.
Mais qui dit agriculture dit avoir besoin de terre... pour planter ! Alors déjà que beaucoup de forêts latino-américaines avaient été rasées pour faire de l'élevage de bovin destiné aux consommateurs de big Mac ou autres, les gros consommateurs du Nord... maintenant, on déforeste à donf pour pouvoir récolter du maïs et autres céréales en vue de les transformer en carburants...
C'est pour ça que certains écologistes commencent à émettre des doutes sur les bienfaits de l'énergie issue de l'agriculture : quand on fait de la culture intensive d'un ou deux produits, ça veut dire qu'on oublie le reste, qu'on détruit l'environnement. La monoculture a montré depuis longtemps à quel point elle appauvrissait les sols, etc. Les zapatistes réclament la possibilité de faire pousser sur leurs petites terres la "milpa" : courges, fayots et euh... j'ai oublié le 3e élément, qui ont toujours été compatibles, et ne se rejettent pas l'un/l'autre... avec ça, ils mettent une ou deux dindes et un dindon ou des petits poulets et non seulement ils ont leur repas, mais ils ne détruisent aucunement l'environnement.
Le Brésil est un très bon élève du FMI et de la Banque Mondiale, mais bon, il contribue à la déforestation de son capital amazonien... Lula est un peu trop laxiste avec les banques internationales... et notre monde moderne beaucoup trop branché "culture intensive", résultats immédiats et enrichissement rapide, aux dépens des enfants qui naissent maintenant...
Tot ou tard, ça va retomber sur la tronche de tout le monde. Mais les premiers touchés seront en effet ces tribus qui avaient réussi à sauvegarder leur culture, à vivre en autarcie... hélas, ce sont eux les plus fragiles parce que pas prédateurs... et respectueux de leur environnement.
Quelle connerie que ce capitalisme et cette consommation abusive !
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
un génocide qui mobilisera moins que le pétrole du darfour......et z'ont même pas de dalaï lama pour se faire entendre les malheureux
j'ai envie de poser des bombes...
j'ai envie de poser des bombes...
billbaroud35- Admin
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Localisation : face au chateau, la classe!!!
Loisirs : glandouiller...
Date d'inscription : 18/04/2007
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
T'es pas le seul...billbaroud35 a écrit:
j'ai envie de poser des bombes...
yapadebu- Invité
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Billou, permets moi de te rappeler que tu as choisi Gandhi comme avatar.. et que poser des bombes... n'était pas tout à fait ce qu'il prônait...
M'enfin moi je peux les poser, les bombes si tu veux... j'ai rien promis à personne...
Sinon, l'autre jour que j'étais en stage, j'ai ouvert libertéchanges et mon voisin de table jette un coup d'oeil sur mon écran et me dit : "ben ça alors, tu parles de Gandhi ?"... pourquoi t'as une photo de Gandhi sur ton écran... je lui ai alors raconté que c'était l'avatar d'un participant à notre forum, et qu'on était en train de fomenter une révolution sanglante...
Ca l'a bien fait rigoler...
M'enfin moi je peux les poser, les bombes si tu veux... j'ai rien promis à personne...
Sinon, l'autre jour que j'étais en stage, j'ai ouvert libertéchanges et mon voisin de table jette un coup d'oeil sur mon écran et me dit : "ben ça alors, tu parles de Gandhi ?"... pourquoi t'as une photo de Gandhi sur ton écran... je lui ai alors raconté que c'était l'avatar d'un participant à notre forum, et qu'on était en train de fomenter une révolution sanglante...
Ca l'a bien fait rigoler...
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
certes...
je vais changer d'avatar...vlad l'empaleur qui massacra les envahisseurs de la transylvanie et laissa 3000 cadavres empalés sur le champ de bataille pour que ceux-ci comprennent qu'il fallait pas gonfler pépère......en même temps les turcs pourraient mal le prendre...
...bon ben vengeur masqué alors, lui seul peut nous sortir de l'ornière!
je vais changer d'avatar...vlad l'empaleur qui massacra les envahisseurs de la transylvanie et laissa 3000 cadavres empalés sur le champ de bataille pour que ceux-ci comprennent qu'il fallait pas gonfler pépère......en même temps les turcs pourraient mal le prendre...
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billbaroud35- Admin
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Date d'inscription : 18/04/2007
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Ca fait classe! est-ce que la moustache dissimule les canines?billbaroud35 a écrit:certes...
je vais changer d'avatar...vlad l'empaleur qui massacra les envahisseurs de la transylvanie et laissa 3000 cadavres empalés sur le champ de bataille pour que ceux-ci comprennent qu'il fallait pas gonfler pépère......en même temps les turcs pourraient mal le prendre...
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Duchesse-
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Date d'inscription : 16/04/2007
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Sinon j'ai trouvé un avatar qui va bien avec notre époque:
yapadebu- Invité
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
ah celui là je te l'emprunterais bien...
billbaroud35- Admin
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Loisirs : glandouiller...
Date d'inscription : 18/04/2007
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
à propos de Gandhi, il disait qu' entre l' esclavage et la violence, il choisirait la violence (je me souviens pas bien de la formulation), faut pas qd même pousser pépé ds les orties...
sam telam-
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Loisirs : joke à rire
Date d'inscription : 16/04/2007
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Sam tu fais fort pour les smileys !!!
C'est très jolie !!!
C'est très jolie !!!
yapadebu- Invité
Re: les tribus brésiliennes virées d'Amazonie...
Tu les as là:yapadebug a écrit:Sam tu fais fort pour les smileys !!!
C'est très jolie !!!
http://www.smiliz.fr/animations.php
sam telam-
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Date d'inscription : 16/04/2007
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