Obama et le pasteur Wright

Florilège: «Au lieu de dire : "que dieu bénisse l’Amérique", il faut dire : "que dieu maudisse l’Amérique […], que Dieu damne l’Amérique qui traite nos citoyens [noirs] comme des sous-hommes», lançait en 2003 le prédicateur, dont les sermons sur vidéos sont vendus par son église. Quelques jours après les attentats du 11 Septembre, Wright présente ceux-ci comme un juste châtiment : «Nous avons soutenu le terrorisme d’Etat contre les Palestiniens et les Sud-Africains noirs, et on s’étonne que tout ce qu’on a fait à l’étranger nous revienne aujourd’hui dans la figure…» Wright accuse également «le gouvernement» d’avoir diffusé le virus du sida pour tuer la population noire…
http://www.liberation.fr/actualite/monde/electionamericaine/317094.FR.php

et bien moi, je suis d' accord avec ce que dit Wright, au détail prés que dieu n' a rien à voir là-dedans puisque 'il n' existe pas,si les etatsuniens sont pas prêts à l' entendre, c'est grave, c'est comme les français avec les camps de concentration en Indochine et Algerie.....que les keums se rendent pas compte que leur fortune vient du trafic du bois d' ébène considéré comme des meubles....c'est à gerber en 2008

Malheureusement, quel gouvernement au pouvoir aujourd'hui, même paré de l'étiquette facile de"démocratie", hésitera à couvrir, voire suciter des manoeuvres sordides, avilissantes, mortelles ? Cherchons ensemble....

sam telam a écrit:Florilège: «Au lieu de dire : "que dieu bénisse l’Amérique", il faut dire : "que dieu maudisse l’Amérique […], que Dieu damne l’Amérique qui traite nos citoyens [noirs] comme des sous-hommes», lançait en 2003 le prédicateur, dont les sermons sur vidéos sont vendus par son église. Quelques jours après les attentats du 11 Septembre, Wright présente ceux-ci comme un juste châtiment : «Nous avons soutenu le terrorisme d’Etat contre les Palestiniens et les Sud-Africains noirs, et on s’étonne que tout ce qu’on a fait à l’étranger nous revienne aujourd’hui dans la figure…» Wright accuse également «le gouvernement» d’avoir diffusé le virus du sida pour tuer la population noire…
http://www.liberation.fr/actualite/monde/electionamericaine/317094.FR.php

et bien moi, je suis d' accord avec ce que dit Wright, au détail prés que dieu n' a rien à voir là-dedans puisque 'il n' existe pas,si les etatsuniens sont pas prêts à l' entendre, c'est grave, c'est comme les français avec les camps de concentration en Indochine et Algerie.....que les keums se rendent pas compte que leur fortune vient du trafic du bois d' ébène considéré comme des meubles....c'est à gerber en 2008

ouais m'enfin c'est pas très constructif tout ça. Heureusement qu'Obama a rattrapé le coup avec un discours très brillant
http://www.liberation.fr/actualite/monde/electionamericaine/317092.FR.php
et puis le sida touche tout le monde que je sache.

Gotch a écrit:Malheureusement, quel gouvernement au pouvoir aujourd'hui, même paré de l'étiquette facile de"démocratie", hésitera à couvrir, voire suciter des manoeuvres sordides, avilissantes, mortelles ? Cherchons ensemble....

Faut arrêter les conneries, avec ces théories du complot. Si tout le monde se comportait de manière responsable et foutait une capote, ça aurait déjà réglé le problème de moitié.

sam telam a écrit:Florilège: «Au lieu de dire : "que dieu bénisse l’Amérique", il faut dire : "que dieu maudisse l’Amérique […], que Dieu damne l’Amérique qui traite nos citoyens [noirs] comme des sous-hommes», lançait en 2003 le prédicateur, dont les sermons sur vidéos sont vendus par son église. Quelques jours après les attentats du 11 Septembre, Wright présente ceux-ci comme un juste châtiment : «Nous avons soutenu le terrorisme d’Etat contre les Palestiniens et les Sud-Africains noirs, et on s’étonne que tout ce qu’on a fait à l’étranger nous revienne aujourd’hui dans la figure…» Wright accuse également «le gouvernement» d’avoir diffusé le virus du sida pour tuer la population noire…
http://www.liberation.fr/actualite/monde/electionamericaine/317094.FR.php

et bien moi, je suis d' accord avec ce que dit Wright, au détail prés que dieu n' a rien à voir là-dedans puisque 'il n' existe pas,si les etatsuniens sont pas prêts à l' entendre, c'est grave, c'est comme les français avec les camps de concentration en Indochine et Algerie.....que les keums se rendent pas compte que leur fortune vient du trafic du bois d' ébène considéré comme des meubles....c'est à gerber en 2008

Une réponse tirée du "Papalagui" :
Ce chef samoan en voyage en Europe a tout d'abord constaté que les corps des femmes étaient si fortement recouverts que les hommes et les adolescents y pensent jour et nuit, "en parlent beaucoup et toujours comme si ce qui était beau et naturel était un grand péché et ne ppouvait arriver que dans l'ombre obscure"... sur les vêtements il termine :"Le blanc est idiot, aveugle, il n'a pas le sens de la vraie joie, lui qui doit tellement s'envelopper pour ne pas avoir honte".
Le Papalagui habite dans des cubes de pierre. Les pierres sont tout autour de lui, à côté de lui et dessous lui... les pièces d'un appartement sont des coffres, qui sont des rangées de coffres bordant des fentes que les Papalaguis appellent la rue... Le Papalagui fait beaucoup de choses qui n'ont pas de sens et le rendent malade, pourtant il les estime et se chante de belles chansons là-dessus... ensuite il parle des paysans qui n'aiment pas les gens des villes, qu'il traite de fainéants : "ils vivent en inimitié avec eux parce qu'ils doivent leur donner de la nourriture..." car ceux-ci portent de plus beaux pagnes et ont de belles mains blanches... l'homme des fentes laisse l'homme de la terre engraisser les cochons artificiellement, celui-ci laisse l'homme des fentes construire ses coffres de pierre et les aimer."
Ensuite, le Samoan découvre l'argent... "Il y a beaucoup de blancs qui entassent l'argent que les autres ont fait pour eux, le portent en lieu sûr, y apportent toujour splus jusqu'à ce qu'ils aient plus besoin de travailler car maintenant l'argent travaille pour eux... et quand l'homme a beaucoup d'argent, beaucoup plus que la plupart des hommes, tant que cent ou même mille hommes pourraient voir leur travail facilité avec cet argent, il ne leur donne rien : il entoure le métal rond de ses mains avec plaisir et convoitise dans les yeux... Il ne peut pas penser je veux m'en aller sans tort et sans reproche comme je suis venu car le Grand Esprit m'a envoyé sur terre sans le métal rond... un petit nombre de gens seulement pensent come ça. La plupart restent dans leur maladie, leur coeur ne guérit plus jamais, mais ils sont heureux de la puissance que leur procure une grande quantité d'argent... Il s'autorise à être féroce pour l'argent. Son coeur est dur, son sang est froid, il dissimule et il ment, il est toujours déloyal et dangereux quand ses mains se tendent vers l'argent... Cela retire à l'homme son souffle, cela enlève à ses jambes la vraie liberté. Mais aucun Papalagui ne veut renoncer à son argent. Pas un... ... il termine sur l'argent en disant : "Aimons nos coutumes qui ne permettent pas qu'un homme ait plus de choses qu'un autre, encore moins que l'un ait vraiment beaucoup et l'autre rien... grâce à elles, notre coeur ne devient pas comme celui du Papalagui qui peut être heureux et gai même si près de lui, son frère est triste et malheureux."
Bon, j'arrête car je vais vous recopier tout le bouquin... mais vraiment, si vous avez envie d'être sage et d'apprécier le peu que vous avez, lisez le Papalagui, chez Pocket, recueilli par Eric Scheurmann.