ça démissionne !
3 participants
Page 1 sur 1
ça démissionne !
Démission de Joyandet et de Blanc !
Deux ministres sacrifiés sur l'autel du trésorier de l'UMP : car Woerth s'agrippe toujours...
Deux ministres sacrifiés sur l'autel du trésorier de l'UMP : car Woerth s'agrippe toujours...
Re: ça démissionne !
Pendant ce temps, l'UMP affiche son racisme et interdit des métiers à des personnes d'origines étrangères...
http://lmsi.net/spip.php?article1065
Au bord de la tuerie générale ou du suicide... pas encore pris ma décision.
http://lmsi.net/spip.php?article1065
Au bord de la tuerie générale ou du suicide... pas encore pris ma décision.
Re: ça démissionne !
on sacrifie 2 pions pour essayer de protéger le petit préféré du moment...qui sautera pareil dans quelques semaines!
y a aussi des dépités ump qui demandent la suppression des 35h (les memes d'ailleurs qui défendent le bouclier fiscal, étonnant non?)
avec une droite comme ça, pas besoin du fn...
ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait, mais ce qui me console c que ça sent bien la panique...
y a aussi des dépités ump qui demandent la suppression des 35h (les memes d'ailleurs qui défendent le bouclier fiscal, étonnant non?)
avec une droite comme ça, pas besoin du fn...
ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait, mais ce qui me console c que ça sent bien la panique...
billbaroud35- Admin
-
Nombre de messages : 6728
Age : 50
Localisation : face au chateau, la classe!!!
Loisirs : glandouiller...
Date d'inscription : 18/04/2007
Re: ça démissionne !
ps : je te conseillerais quand même plutot la tuerie, à choisir...
billbaroud35- Admin
-
Nombre de messages : 6728
Age : 50
Localisation : face au chateau, la classe!!!
Loisirs : glandouiller...
Date d'inscription : 18/04/2007
VIVE LA COMMUNE !
1886 Paroles d’Eugène POTTIER
On l’a tuée à coups de chassepot,
À coups de mitrailleuse
Et roulée avec son drapeau
Dans la terre argileuse.
Et la tourbe des bourreaux gras
Se croyait la plus forte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Comme faucheurs rasant un pré,
Comme on abat des pommes,
Les Versaillais ont massacré
Pour le moins cent mille hommes.
Et les cent mille assassinats,
Voyez ce que ça rapporte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
On a bien fusillé Varlin,
Flourens, Duval, Millière,
Ferré, Rigault, Tony Moilin,
Gavé le cimetière.
On croyait lui couper les bras
Et lui vider l’aorte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Ils ont fait acte de bandits,
Comptant sur le silence.
Achevés les blessés dans leur lit,
Dans leur lit d’ambulance
Et le sang inondant les draps
Ruisselait sous la porte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Les journalistes policiers,
Marchands de calomnies,
Ont répandu sur nos charniers
Leurs flots d’ignominie.
Les Maxim’ Ducamp, les Dumas
Ont vomi leur eau-forte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
C’est la hache de Damoclès
Qui plane sur leurs têtes.
À l’enterrement de Vallès,
Ils en étaient tout bêtes
Fait est qu’on était un fier tas
À lui servir d’escorte
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte.
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte !
Bref tout ça prouve au combattant
Qu’ Marianne a la peau brune,
Du chien dans l’ ventre et qu’il est temps
D’crier vive la Commune !
Et ça prouve à tous les Judas
Qu’si ça marche de la sorte
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte.
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte !
On peut écouter d'autres chansons ici.
VIVE LA COMMUNE !
On l’a tuée à coups de chassepot,
À coups de mitrailleuse
Et roulée avec son drapeau
Dans la terre argileuse.
Et la tourbe des bourreaux gras
Se croyait la plus forte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Comme faucheurs rasant un pré,
Comme on abat des pommes,
Les Versaillais ont massacré
Pour le moins cent mille hommes.
Et les cent mille assassinats,
Voyez ce que ça rapporte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
On a bien fusillé Varlin,
Flourens, Duval, Millière,
Ferré, Rigault, Tony Moilin,
Gavé le cimetière.
On croyait lui couper les bras
Et lui vider l’aorte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Ils ont fait acte de bandits,
Comptant sur le silence.
Achevés les blessés dans leur lit,
Dans leur lit d’ambulance
Et le sang inondant les draps
Ruisselait sous la porte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Les journalistes policiers,
Marchands de calomnies,
Ont répandu sur nos charniers
Leurs flots d’ignominie.
Les Maxim’ Ducamp, les Dumas
Ont vomi leur eau-forte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
C’est la hache de Damoclès
Qui plane sur leurs têtes.
À l’enterrement de Vallès,
Ils en étaient tout bêtes
Fait est qu’on était un fier tas
À lui servir d’escorte
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte.
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte !
Bref tout ça prouve au combattant
Qu’ Marianne a la peau brune,
Du chien dans l’ ventre et qu’il est temps
D’crier vive la Commune !
Et ça prouve à tous les Judas
Qu’si ça marche de la sorte
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte.
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte !
On peut écouter d'autres chansons ici.
VIVE LA COMMUNE !
Re: ça démissionne !
C'est trop
Deux personnes ont jailli de
l'infernale charrette. Deux comparses s'en sont allés, pour ce qui
n'était, face au reste, que des peccadilles. L'Élysée s'imagine
peut-être avoir « sauvé les meubles » par ce geste
puéril. Au contraire, il a bien indiqué de cette façon-là combien
ses priorités étaient l'inverse du sens commun, combien il se
moquait de la vraie hiérarchie non naturelle, mais des
responsabilités de la situation actuelle.
Depuis des années maintenant, celui
qui a théoriquement été élu pour être l'arbitre de la Nation
s'est délibérément détourné de ce rôle que ses prédécesseurs
avaient tenu le mieux possible. Jamais juge, toujours partie, il a
toujours instrumentalisé les évènements à SON bénéfice, et il
continue. C'est en permanence une guerre entre l'OCCUPANT de
l'Élysée, et la France, un pays dont il ne connaît que certains
quartiers huppés. Tous ses actes tendent vers le même but :
détruire, détruire, détruire.
Détruire l'inestimable héritage de
nos aînés du CNR. Détruire les infrastructures de transport,
d'énergie, les historiques et authentiques strates administratives
qu'il veut remplacer par des structures floues et ouvertes au
commerce sans entraves. Détruire l'esprit républicain à l'école
publique, qu'il émascule grâce à des coupes drastiques de
personnel ; détruire la laïcité, ce faisant, et en accordant un
maximum de soins aux enseignements privés et confessionnels ;
détruire la Justice, en liant encore plus étroitement les
procureurs à ses désirs et ses ordres (au niveau européen, on leur
dénie même le statut de magistrats), en abattant le juge
d'instruction, trop libre, en modifiant toute la structure judiciaire
chassée des petites villes et s'entassant dans les grandes. Détruire
l'armée, à son goût pas assez docile, en bloquant ses crédits, en
détachant de sa hiérarchie la gendarmerie pour la soumettre au
ministère de l'Intérieur, SON fief. Détruire notre système de
santé, en le déshumanisant, en lui enlevant petits hôpitaux et
personnels, en étouffant la Sécurité Sociale par des exonérations
patronales injustifiées et lourdes sur le budget. Détruire
l'inspection du Travail, empêcheur de tourner en rond ; les services
vétérinaires qui pourraient donner trop vite l'alerte face aux
productions de ses amis industriels ; les services de voirie confiés
aux collectivités locales ou régionales sans contrepartie
financière...
J'en ai nécessairement oublié. Déjà,
malgré des apparences encore présentables, la France est un champ
de ruines, et cela ne fait que commencer. Entouré de son pléthorique
panel de « Conseillers », l'homme du faubourg dirige le
pays, aidé par quelques amis. Ainsi, lui qui reste in fine le patron
de l'UMP a pour précieux second le trésorier de celle-ci, pourtant
moult fois épinglé ces temps-ci pour des présomptions de
malversations.
Selon la Constitution, le président
est l'arbitre de la République, et le premier ministre gouverne.
Comme dans les faits, c'est l'OCCUPANT de l'Élysée qui a accaparé
entièrement le rôle, c'est lui désormais qui est le fusible. C'est
à lui de sauter, tout de suite, ainsi que les ministres qui
n'étaient que les hésitants et trébuchants effecteurs de ses
diktats.
D É M I S S I O N !
Démission tout de suite, et ne vous représentez pas !
L'honneur de la France vous encourage à la
quitter, et à ne plus y revenir.
Deux personnes ont jailli de
l'infernale charrette. Deux comparses s'en sont allés, pour ce qui
n'était, face au reste, que des peccadilles. L'Élysée s'imagine
peut-être avoir « sauvé les meubles » par ce geste
puéril. Au contraire, il a bien indiqué de cette façon-là combien
ses priorités étaient l'inverse du sens commun, combien il se
moquait de la vraie hiérarchie non naturelle, mais des
responsabilités de la situation actuelle.
Depuis des années maintenant, celui
qui a théoriquement été élu pour être l'arbitre de la Nation
s'est délibérément détourné de ce rôle que ses prédécesseurs
avaient tenu le mieux possible. Jamais juge, toujours partie, il a
toujours instrumentalisé les évènements à SON bénéfice, et il
continue. C'est en permanence une guerre entre l'OCCUPANT de
l'Élysée, et la France, un pays dont il ne connaît que certains
quartiers huppés. Tous ses actes tendent vers le même but :
détruire, détruire, détruire.
Détruire l'inestimable héritage de
nos aînés du CNR. Détruire les infrastructures de transport,
d'énergie, les historiques et authentiques strates administratives
qu'il veut remplacer par des structures floues et ouvertes au
commerce sans entraves. Détruire l'esprit républicain à l'école
publique, qu'il émascule grâce à des coupes drastiques de
personnel ; détruire la laïcité, ce faisant, et en accordant un
maximum de soins aux enseignements privés et confessionnels ;
détruire la Justice, en liant encore plus étroitement les
procureurs à ses désirs et ses ordres (au niveau européen, on leur
dénie même le statut de magistrats), en abattant le juge
d'instruction, trop libre, en modifiant toute la structure judiciaire
chassée des petites villes et s'entassant dans les grandes. Détruire
l'armée, à son goût pas assez docile, en bloquant ses crédits, en
détachant de sa hiérarchie la gendarmerie pour la soumettre au
ministère de l'Intérieur, SON fief. Détruire notre système de
santé, en le déshumanisant, en lui enlevant petits hôpitaux et
personnels, en étouffant la Sécurité Sociale par des exonérations
patronales injustifiées et lourdes sur le budget. Détruire
l'inspection du Travail, empêcheur de tourner en rond ; les services
vétérinaires qui pourraient donner trop vite l'alerte face aux
productions de ses amis industriels ; les services de voirie confiés
aux collectivités locales ou régionales sans contrepartie
financière...
J'en ai nécessairement oublié. Déjà,
malgré des apparences encore présentables, la France est un champ
de ruines, et cela ne fait que commencer. Entouré de son pléthorique
panel de « Conseillers », l'homme du faubourg dirige le
pays, aidé par quelques amis. Ainsi, lui qui reste in fine le patron
de l'UMP a pour précieux second le trésorier de celle-ci, pourtant
moult fois épinglé ces temps-ci pour des présomptions de
malversations.
Selon la Constitution, le président
est l'arbitre de la République, et le premier ministre gouverne.
Comme dans les faits, c'est l'OCCUPANT de l'Élysée qui a accaparé
entièrement le rôle, c'est lui désormais qui est le fusible. C'est
à lui de sauter, tout de suite, ainsi que les ministres qui
n'étaient que les hésitants et trébuchants effecteurs de ses
diktats.
D É M I S S I O N !
Démission tout de suite, et ne vous représentez pas !
L'honneur de la France vous encourage à la
quitter, et à ne plus y revenir.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|