encore un con atteint par

le crétinisme oecuménique de la morale à 2 balles....


recadrage:

gagner: pourquoi faire si il y a un perdant???

souffrance: le prix exigé par le chef pour "briller", se décline en "sacrifice" ds la logorrhée balladurienne de Sa Courtoise Suffisance

antidote: le samba

"Pra que chorar, pra que sofrer, se hà sempre um novo amor, cada nova amanhecer...."

Pour quoi pleurer, pourquoi souffrir si y' a tjrs un nouvel amour à chaque matin...
ça veut pas dire qu' il faut devenir poly-game/andre, petits canailloux!!!, ....quoique, mais faut en être capab'!!!
ça veut dire que ts les matins , on est bien paskon aime ce que l' on fait, c'est l' amour de la belle ouvrage...en termes taoïstes, c'est être ds l' équilibre du Yin et du Yang, la voie du juste milieu.....mais pour ça comme le disait le "fou" ds Tintin et le lotus bleu....il faut couper la teuté....c a d , faire taire l' égo et le mental et ce qui vient du cerveau reptilien....

http://www.liberation.fr/actualite/sports/309146.FR.php

sam telam a écrit:le crétinisme oecuménique de la morale à 2 balles....


recadrage:

gagner: pourquoi faire si il y a un perdant???

souffrance: le prix exigé par le chef pour "briller", se décline en "sacrifice" ds la logorrhée balladurienne de Sa Courtoise Suffisance

antidote: le samba

"Pra que chorar, pra que sofrer, se hà sempre um novo amor, cada nova amanhecer...."

Pour quoi pleurer, pourquoi souffrir si y' a tjrs un nouvel amour à chaque matin...
ça veut pas dire qu' il faut devenir poly-game/andre, petits canailloux!!!, ....quoique, mais faut en être capab'!!!
ça veut dire que ts les matins , on est bien paskon aime ce que l' on fait, c'est l' amour de la belle ouvrage...en termes taoïstes, c'est être ds l' équilibre du Yin et du Yang, la voie du juste milieu.....mais pour ça comme le disait le "fou" ds Tintin et le lotus bleu....il faut couper la teuté....c a d , faire taire l' égo et le mental et ce qui vient du cerveau reptilien....

http://www.liberation.fr/actualite/sports/309146.FR.php

La souffrance, il faut que ce soit comme les lasagnes : une couche rouge mince entre deux couches épaisses de bonne pâte, et une béchamel pour calmer le tout....

D'toutes façons, rien ne vaut la sauce, le liant, l'amour en effet... Entre les ingrédients d'une recette de cuisine et les êtres humains, il faut absolument un liant, sans quoi c'est imbuvable !